La crise n’est pas un cas de force majeure.
La seule existence d’une crise économique entraînant une chute brute du chiffre d’affaires ne caractérise pas un cas de force majeure à raison d’un défaut d’imprévisibilité et d’irrésistibilité (Cass. Com, 12 février 2013, n° 12-11.709).